Space mothers.
Savez-vous que la tête
d'une mère est un ordinateur hors du commun ? La nasa recrute
d'ailleurs des mères pour en étudier le cerveau surpuissant en
matière de gestion de paradoxe.
Qui mieux qu'une mère
peut hurler de manière larmoyante "il faudrait quand même que
tu te prennes en mains !" en touillant délicatement le chocolat
chaud de son petit garçon de 43 ans ?
Qui, encore, est capable
de prétendre "Si, je m'occupe de moi, la preuve, je fais cette
lessive tout de suite, pour pouvoir repasser tranquillement dans une
heure pendant que le repas cuira !" ?
Qui, enfin, peut vous
montrer à quel point vous êtes insuffisant en tant qu'enfant, en
tenant dans ses main un parabellum pour démolir le connard/la salope
qui vous a plaqué ?
Donc, disais-je, la nasa
s'intéresse sérieusement au cas, alors que franchement, au lieu de
bosser comme des fous furieux pour que maman soit fiers d'eux, ils
feraient mieux d'aller les voir, car ils leur manque et on ne les
vois jamais avec ce travail de fous qui les exploite. Qu'ils se
gardent bien d'y aller, les mamans ne pourraient plus alimenter leurs
conversations téléphoniques de leurs fils qui lancent des fusées,
mais oui mais oui, et le président leur fait confiance en personne
et tout et tout.
La nasa a établi un
protocole d'étude sur un échantillon représentatif de tout age de
mamans. Le responsable du projet, Kani Reno, a été chargé du
projet, l'objectif étant d'étudier la gestion des contraintes sous
stress avec une efficience maximale. Les responsables des voyages
ayant remarqué que les contraintes répétées et insolubles de
temps, de fatigue, de stress relationnel par manque d'intimité
pouvait gravement endommager la qualité des commentaires figurant
sur le journal de bord. Ce journal, relatant tout événement
technique ou humain, était une précieuse mine d'information pour le
pull de psy qui cherchait à étudier les effets des contraintes et
des paradoxes sur le cerveau humain hors gravité.
Ainsi donc,Kani avait la
lourde tâche d'orchestrer ce projet. A ses côtés, des ingénieurs
spécialisés en intelligence artificielle, dont Zoé azimov, petite
nièce du regretté Isaac, des disciples de Freud, qui ressemblaient
d'aillleurs beaucoup à des ingénieurs informaticiens, et des
publicistes, recrutés pour une créativité sans limite.
Tout d'abord eut lieu
l'entretien de recrutement de l'échantillon représentatif. Les psy
en premier lieu se chargèrent des entretiens de recrutement. Au bout
de trois entretiens, des hurlements stridents et des bruits de gifles
se firent entendre. Les mères, peu coopératives, ne souhaitaient ni
prendre le jury sur les genoux, ni leur montrer leurs seins, indice
pourtant notable de leur maternité. On passera sous silence les
demandes en mariage à répétition de l'un d'enter eux, le plus
jeune, à toute femme apte à la grand-maternité.
Kani se gratta la tête
en présence des femmes furax qui par représailles avaient arraché
les lunettes des freudiens et confia le travail aux roboticiens. Ces
derniers constatèrent une excellente adaptation des mères, car quel
que soit la phrase-question énoncée, la phrase-réponse était
pertinente. En voici quelques-unes :
Quel est votre nom ?
Entre sauver votre
enfant d'une mort certaine et vous colorer les cheveux en bleu,
quelle alternative choisissez-vous ?
Vous venez souvent ici
?
Sauriez-vous demonter
l'un des modules de la station spatiale par guidage audio avec un
temps d'autonomie limité ?
Notons
ici que la réponse vaut d'être mentionnée par une maman sans
travail, de basse extraction et mère de deux séries de jumeaux.
Est-ce que c'est plus
difficile que démonter ma machine à laver parce que l'un des petits
y a perdu un clou de son mécano avec un ventre de 8 mois et demi et
des contractions qui commencent pendant que les nouilles cuisent et
que l'aute enfant essaie de tondre le chat avec le rasoir de son père
?
Furent
evacuées du test quelques mamans qui eurent l'idée étrange de
refuser de se départir du petit dernier encore au sein, le protocole
ne prévoyant que des mères, et pas des bébés.
On explica donc à ces
nouvelles recrues l'objectif de cette étude. L'une d'entre elles,
une ravissante brune trentenaire portant en médaillon sur son
chemisier une teche de régurgitation lactée : "mais
dites-moi, c'est bizarre, votre truc, d'étudier quelque chose qui en
empêche l'étude, non ?". Les créatifs (surnommés par les
autres les crétins à tifs) se roulèrent par terre en se tenant les
côtes. Ils avaient maintes fois soulignés cet état de fait mais
bon, quand les originaux s'en mêlent... Cette femme merveilleuse
venait de mettre le doigt sur le paradoxe de l'étude du paradoxe.
Les messieurs cravatés aux cheveux courts se regardèrent perplexes
et reprirent ; "enfin madame, puisqu'on vous dit que notre
onjectif est d'obtenir le carnet de bord le plus clair possible pour
comprendre les contraintes en place lors d'un vol spatial !
La
brunette leva les yeux au ciel, et avec quelques copines
circonstancielles prit une expression toute maternante pour expliquer
son propos : Ecoute, mon petit bonhomme, tu vas laisser
faire celles qui savent, et on va t'expliquer des choses dès que tu
pourras les comprendre. Tu es d'accord ?
Quesion totalement oratoire s'il en est, les psys et les roboticiens,
surpris par un tutoiement totalement inopiné et longuement étudié
laissèrent leur travail à des monstres d'autorité déguisées en
gentilles dadames. Celles-ci se réunirent par groupe de cinq ou six,
et revinrent avec un certain nombre de problématiques soulevées par
le projet :
- Pourquoi envoyer les gens dans l'espace,
- pourquoi exiger un compte-rendu impeccable,
- a quoi servent les créatifs ?
- Peut-on observer les astronautes en train de jouer ?
- Où sont les toilettes dans ce fichu bâtiment ?
Le
dernière question trouva rapidement une réponse, et sauva l'honneur
des quarantes femmes au périnée fatigué.
Les
roboticiens et autres psy ricanèrent sans retenue à l'évocation de
l'utilité des créatifs ; Kani énonça fermement que jusqu'à
présent, ces deux derniers n'avaient trouvé aucune solution
satisfaisante à la résolution des problèmes de stress dans
l'espace, et que c'était à l'initiative d'un appel d'offre que des
créatifs s'étaient manifestés pour proposer la solution ad hoc :
la consultation de mamans, et qu'ainsi donc ils faisaient partie
intégrante du projet en tant que solution alternative à tout ce qui
a été essayé avant. Par ailleurs, il était incroyablement
enrichissant de rassembler des population au système de pensée très
différents afin d'obtenir une opinion différencielle. Le visage
satisfait d'un Gros Minet qi vient de croquer un Titi des créatifs
fut une insulte supplémentaires aux savants.
Cependant,
Kani se trouva sec quant à l'explication de l'utilité d'envoyer des
hommes dans l'espace. Et son honneur de mâle travaillant pour la
Nasa ne puvait tolérer une telle carence dans le raisonnement de son
pays. C'est pourquoi il se lança dans une diatribe passionnée dans
la supériorité de l'Homme qui repousse chaque jour les limites du
possibles hum hum, repousser les limites...
qui conquiert de nouveaux territoires, oui, un
territoire... qui vient affirmer
la force et la puissance de notre belle Nation, force et
puissance, donc ! Et puis je
n'ai rien à vous expliquer, on va dans l'espace et c'est comme ça !
Les
femmes se réunirent, discutèrent pendant trois thés et deux
gateaux au chocolat, et rendirent leurs conclusions devant un
parterre d'Hommes a priori amusés, mais aux mains moites.
Une
femmes aux formes plantureuses et à la voix usée d'avoir hurlé
pour se faire entendre de ses trois filles fit entendre ceci :
"Il
faut des pizzas, des robots transformers, un chat, un chef de
chantier et un four."
Cette
phrase lachée eut l'effet d'un éternuement lors d'un opéra. Le
silence gêné qui ensuivit l'évidente grosièreté de la
proposition se trouva rapidement remplacé par des rires moqueurs,
très vite suivie elle-même d'un colère sourde.
"'mande
pardon ?
- Il faut des pizzas, ce plat italien à base de pâte à pain enduite de tomate et recouverte de fromage, des jouets qui ont une forme de robot ou de vaisseau spatial selon leur positionnement, un félin domestique, un monsieur qui fait des travaux dans les maisons et une boîte qui produit de la chaleur, reprit d'une voix veloutée une ancienne institutrice à la retraite qui avait fait grandir 850 gamins dont quatre lui appartenant;
- Ma parole elles nous prennent pour des cons !
- On ne dit pas de gros mots dans une assemblée, vous sortez et vous rentrerez lorsque je vous le dirai ! Par ailleurs vous allez nous faire le plaisir de vous executer sur le champ.Toi, le freudien, tu vas t'occuper de nous trouver le matou, les roboticiens, vous allez nous dégoter un four et un maître d'oeuvre fissa, quant aux créatifs, vous connaissez déjà les meilleures pizzerias, et vous filez récupérer vos vieux robots transformers., alors vous vous activez. Tout ça ici demain en début de journée ! Allez les fillesn c'est bon pour aujourd'hui, vous savez où on peut trouver une boulangerie ouverte à cette heure-ci ?
Dans
le brouhaha des divers commentaires farinesques, Kani était sonné,
en quelques heures, les femmes avaient pris le pouvoir en main sans
coup férir, devant des bac + beaucoup incapables de réagir. Il
oscillait entre remercier le ciel de cette accélération évidente
de la résolution du problème et une terreur sourde de s'être
phénoménalement planté. Il appela sa mère pour lui demander son
avis, elle saurait dans son propos préserver les intérêts de son
fils tout en lui expliquant ce retournement incontrôlé de
situation. "Ah mon chéri, je suis fière de toi ! Enfin un
homme qui a compris que notre formation est qualifiante ! Et c'est
mon fils !
- Maman je ne comprends rien à ce qu'elles font ! Elles me font peur, Elles ne connaissent rien au vol spatial.
- Mon chéri, As-tu compris sur le moment pourquoi je t'interdisais le fréquenter les voisins ?
- Non, je n'ai su que des années plus tard q'ils faisaient du trafic d'armes.
- Savais-tu pourquoi je t'habillais avec des vêtements bon marché ?
- Je détestais cela, mais je n'ai jamais été racketté.
- Te souviens-tu comme je t'obligeais à manger des légumes ?
- C'était une vraie torture mais je ne suis pas obèse contraireent à mes ancien copains.
- Une mère ne se justifie pas, elle ne cherche pas à être comprise car elle sait que c'est impossible, elle ne vise qu'un but : l'efficacité. Fais-leur confiance, et brosse-toi les dents trois fois par jour."
Une
longue nuit pour les savants à ruminer la pulvérisation méthodique
de leurs egos maltraités, une courte nuit pour les crétifs qui
avaient décidé de tester tous les jouets et toutes les pizzas "à
des fins d'efficience optimale". Un coup de mouchoir sur les
yeux et les bouches des enfants, une caresse de mascara, un baiser de
rouge à lèvres et voilà la mother team prête à prendre la
journée d'assaut.
C'est
une ancienne secretaire, discrète et réservée qui susurra d'une
voix flutée la consigne suivante. "Bonjour messeieurs,
auriez-vous s'il vous plaît l'amabilité de bien vouloir nous amener
les messieurs qui vont dans l'espace ? Ce serait fort aimable à
vous."
Vingt
minutes plus tard, des armoires à glaces surentraînées aux nerfs
d'acier entrent en scène dans des uniformes blancs impeccables,
équipés de leur cerveau congigurés pour vivre l'extrême et de
leur regard d'acier dénuée de la moindre émotion. Les mascaras
firent assoir les nerfs d'acier en rond par terre et leur mirent
entre les mains les robots transformers. "Et maintenant jouez !"
Les freudiens commencèrent à trouver l'expérience intéressante,
les roboticiens ne pipaient mot, se demandant jusqu'où irait ce
cirque. L'un d'eux demanda où était passé le maître d'oeuvre
demandé. Une ravissante rousse l'informa que ce n'était pas Dieu
possible une organisation aussi malfichue de la position des
sanitaire, et qu'elles réagençaient donc tout l'étage. Le plus
expéroimenté d'entre eux failli s'etrangler dans son café. Il se
tourna vers Kani Reno et explosa comme un vieux moteur de 2cv : non
mais je rêve, elles s'occupent de l'architecture d'un bâtiment
d'état maintenant ? Tant qu'on y est, on devrait les laisser
construire les fusées, et puis les lancer, et puis finalement on
devrait les laisser entièrement gérer la nasa ! Après tout
pourquoi on s'enquiquine à faire des années d'études, de
formations, de stages, à grimper les échelons sur le mérite ? Il
suffit donc de pondre une chiée de lardons et le monde nous app...
Son
tonitruant discours fur stoppée net par une gifle monumentale
ditribuée par la main d'une ancienne bûcheronne. "Commence par
en pondre un, et tu verras bien si tu sais gérer la douleur , mon
petit gars, et si tu parviens à t'occuper d'un lardon qui hurle huit
heures d'affilée sans le mettre à la poubelle, et si tu es capable
de faire ça pendant plusieurs années alors tu auras gagné le droit
de coller des baffes aux petits crétins qui croient tout savoir
parce qu'ils fuient la maison pour le travail au lieu d'aider leur
femme. Et puis on t'a donné la permission de revenir, à toi ? Bien,
est-ce que par hasard l'un d'entre vous aurait à émettre une autre
opinion différencielle ?"Il est étonnant de constater la
diversité de matières, de couleur, et de forme des chaussures des
roboticiens, c'est en tout cas le constat qu'ils faisaient tous à ce
moment précis.
Les
astronautes étaient toujours assis face aux jouets, et ne bougeaient
pas, paralysés par le paradoxe suivant : il faut jouer car on le
demande et c'est sérieux. Une charmante lolita enceinte jusqu'au
rouge à lèvre lâcha donc les créatifs dasn l'arène. Montrez-Leur
ce qu'ils ont oublié ! Et pendant que ces gamins hypertropiés
partent dans une guerre interstellaire et plastique, allons voir un
peu où en sont les travaux de l'étage.
Ces
dames avaient vite compris que les plus hautes décisions se prenaint
comme à la maison sur les lieux de plaisir, à savoir la machine à
café, et que le lieu corrélatif étaient les toilettes "Ben
oui, disait une belle des champs de la campagne profonde, si ça
rentrre, faut que ça sorte !" Or entre les deux lieu, il
fallait prendre un dédale de couloirs et s'isoler au fin fonds du
bâtiment. Pour optimiser le fonctionnement de la nasa, il était
essentiel de multiplier les rencontres, et ces dames avaient donc mis
en place un plan simple qui consistait à séparer la machine à café
de vingt metres de couloir droit sans porte. Ainsi tous les employés,
du plus humble au plus gradé, pouvaient dans cet espace alimenter la
progression du service de manière informelle. Elles furent
longuement remerciées par le préposés au courrier, qui du coup
mettaient, au bout de sept ans de bons et loyaux services, des
visages sur des noms, par les différents dirigeants, qui enfin se
trouvaient là où les idées fusaient (ce qui est une chance pour la
nasa), et par le maître d'oeuvre, qui pouvaient enfin s'offrir la
mazerrati de ses rêves.
Les
créatifs s'étaient retirés, respectant ainsi leur travail de
chauffeurs de salle, et les nerfs d'acier se hurlaient dessus à qui
avait le plus beau transformer. Ils beuglaient comme des damnés,
l'écume aux lèvres, et se battaient par le biais de leurs joujoux.
"Voyez
donc, dit une arrière grand-mère édentée, ce qui se joue dans la
conquête de l'espace, c'est surtout la conquête. Le tout est de
leur donner les moyen d'explimer leur frustration et leur agressivité
sans risque pour la mission, d'où les robots transformers."
Kani
commençait à comprendre où les mères voulaient en venir.
Le
chat fut lâché par une brune avec un sourire à désarmer l'irak.
Aussitôt
le félin se dirigea vers un nerf d'acier qui se calma
instantannément "Bonjour, toi, tu sors d'où ?" Le chat,
baptisé Robocop par les bébés musclés, alla de genoux en bras, et
désarma la guerre intersidérale, devant des freudiens intersidérés.
"Les
animaux ont pour qualité d'absorber le stress et de le transformer
en énergie positive : les fristrations et les colères exprimées
sont désarmées par un simple câlin." Les freudiens
ripostèrent qu'aucun théoricien n'avait rien écrit sur la question
et que donc le test n'était pas fiable. Une mère cuisinière de
cinqiante deux ans, quatre garçons, répondit : ah ouais, mais ce
n'est pas ce que pense votre copain, là, à côté de vous!"
S'ensuivit une empoignade d'écoles, aussitôt calmée par Robocop,
qui ne semblait pas même saisir la tension dans la pièce. "Vous
voyez, dit la cuisinière, ça a encore marché !"
Recontemplation de chaussures.
Un
roboticien intervint timidement :"Euh, et nous, on sert à quoi
?
- A construire ce qui nous sera nécessaire pour la suite."
Amenez
les pizzas, les émotions, ça affame ! L'on vit l'élite de la
nation s'empiffrer en faisant des concours de bouchées les plus
grosses, se lancer les olives pour les receptionner avec la bouche et
retapisser feus leurs uniformes impeccables de sauce tomate et de
pesto.
- C'était bon ?
- Ouiiii !
- Vous en voulez encore !
- Ouiiii !
- Voilà tous les ingrédients et un four, à vous de jouer !"
L'élite d'armoires à
glace dut mettre les mains dans la farine, se repeindre de tomate,
séparer les anchois, choisir le fromage, et firent un concours de la
meilleures pizza. Puis emportés par l'élan créatif de la
situation, ils donnèrent des prix de la pizza la mieux cuite, la
plus belle, la plus fine, tout en savourant le fruit de la
compétition.
Les cuisiniers de la nasa
étaient incroyablement sales, repus, heureux.
Vous les roboticiens,
vous vous débrouilez pour coller un four à pizza dans l'espace, et
faire monter de la farine et des anchois. Les freudiens, arrêtre de
prendre des photos sous nos jupes, on en a marre, les créatifs,
rentrez chez vous et trouver un vrai métier.
Une mère célibataire au
physique d'hôtesse de l'air conclut ainsi l'expérience : Les jouets
ont pour but de reproduire une guerre de territoire, et elle est
désarmée. Le chat désactive ce conflit et rend inutile toute
utilisation de la force. Les pizzas concrétisent une manifestation
de la puissance créative dans une collaboration gagnant gagnant, car
quelle que soit la pizza, elle est partagée. Et tous la savourent.
Non seulement vos
rapports seront clairs, mais avec cette solution vous n'aurez plus à
étudier les contraintes, nous avons résolu tous les problèmes de
stress.
Bon les filles, on va se
faire une eau chaude avec de l'herbe dedans ?
Le 26 août 2014
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