Je ne sais pas quel est le pingouin qui a sorti cette merveille de bêtise de son cerveau décongelé, mais il aurait aussi bien pu aller se faire cuire un steack de phoque.
Parce plein de bonnes choses peuvent se produire qui n'étaient pas bien parties au départ. Comme par exemple une queue au supermarché, pile celle qui bloque quand vous vous y installez, comme le veut la loi de Murphy ou LEM (loi de l'enquiquinement maximum). Je dois hurler à la rectification de cette loi, et si vous n'aviez pas eu la tête dans ce que vous étiez en train de ne pas faire, vous auriez très certainement contemplé l'être magnifique sorti(e) d'un magazine de mode qui vous souriait l'air de rien en attendant que le mouvement reprenne. Et les trois heures de queue interminable étaient au final un billet pour le paradis.
Et la tartine qui tombe du côté de la confiture, vous y avez songé ? Bien sûr, avez la confiture qui collle quand on la nettoie et le beurre gras sur les mains. Et avez-vous remarqué que du bas de la table de la cuisine, on a une vue imprenable sur cet oiseau dans l'arbre, dont vous ne contemplez que le tronc depuis votre installation en 2003 ? En plus, il n'y a plus de pain, vous mangerez un fruit, le premier de la semaine (et on est jeudi !)
Vous vous êtes entendu beugler sur "cet abruti de gros-cul (entendez camion) qui veut pas avancer, le crapaud". Ce que vous ignorez, c'est que le crapaud vous a empêché de parechoquer à mort le motard qui n'a pu freiner à temps sur route mouillée. Deux vies épargnées, celle du motard, et la vôtre, gâchée par une éternelle culpabilité.
Suggestion du jour, à chaque fois que vous râlez ...rien, ne faites rien, mais à chaque scénario de fou que vous construisez pour embellir la catastrophe et vous transformer en héros, faites-vous un compliment, ou un bisou, ou un café, et envoyez-moi les effets sur votre moral.
Chers Volusiens, Chères Volusiennes, avec tout mon Amour, bonne soirée !
Ecris, je lirai tes livres, ce que tu écris est poétique touchant charmant déjanté tellement ressentit ... l'esprit, le coeur, l'âme, tu livres plein de choses qui me touchent.
RépondreSupprimerInutile que je t'appelle, je n'ai pas envie d'entendre que tu sentais que j'allais appeler. Je suis content de te sentir peine de vie !